World Illustration Awards 2018

World Illustration Awards 2018

Célébrer l’illustration la plus inspirante à travers le monde. #WIA2018

Comme le titre de l’article l’indique, il s’agit d’une remise de prix mondiale de l’illustration, organisée par l’AOI (Association of Illustrators) pour la 42e année consécutive. Elle a eu lieu le 7 juin dernier et il était inconcevable pour moi de ne pas l’évoquer. En effet, ce concours annuel vise à présenter des illustrateurs émergents et les dernières techniques de la discipline.

75 pays participants

Les projets sélectionnés étaient répartis dans huit catégories et pouvaient être présentés par des professionnels ou bien des étudiants, nouveaux diplômés. Parmi un record de 3 300 participants provenant de 75 pays, l’AOI a retenu une liste de 200 finalistes  !  Les vainqueurs ont été annoncés lors d’une soirée de remise des prix le 7 juin 2018 à LondresLes World Illustration Awards poursuivent la tradition de l’AOI consistant à organiser une exposition annuelle sous différentes formes depuis plus de 40 ans.

Une nouvelle catégorie expérimentale

Un projet de réalité virtuelle (VR) de l’artiste malaisien Book of Lai comprend une installation interactive à 360 degrés ! (Visible sur ce lien ! Déplacez votre souris dans l’image ! Impressionnant non ?)

Et les World Illustration Awards 2018 sont attribués à…

Stevie Gee (professionnel) et Monika Vaicenaviciene (nouveau talent). Tous les candidats retenus (200 finalistes) figuraient dans une exposition à la Somerset House du 7 au 20 juin 2018. Mais les projets continuent d’être exposés, au cours de l’année, au Royaume-Uni mais aussi à l’étranger. Donc j’ai rassemblé pour vous, ci-dessous, un petit condensé des illustrations qui ont marqué les esprits :

 

WIA_MonikaVaicenaviciene_Whatisariver1

Katja Grosskinsky (Vainqueur - Nouveau talent) - Magister Ludi est une collection de mode interactive avec des éléments repositionnables. Katja Grosskinsky (Vainqueur – Nouveau talent) – Magister Ludi est une collection de mode interactive avec des éléments repositionnables. Le vêtement est conçu comme un jouet. Chaque objet de la collection se déroule dans son propre monde thématique et peut être joué par deux joueurs.

Conclusion

J’espère vous avoir donné l’envie, avec ces quelques mots et l’article précédent, d’en apprendre davantage sur les illustrateurs et les professions dites « artistiques ». Et pourquoi pas, en attendant le prochain article, de vous essayer à cette activité (comme hobby, ou voire plus si affinités).

Pour ma part, dans mon quotidien, je continue d’admirer les oeuvres des artistes, les beaux albums pour enfants (avec ma fille de 4 ans). J’aime les illustrations un peu naïves, épurées, colorées. D’ailleurs vous pouvez découvrir un petit panel d’illustrations sélectionnées dans un tableau Pinterest (lien ici) que je mets régulièrement à jour.

A très bientôt !

L’illustration, une valeur ajoutée

L’illustration, une valeur ajoutée

Introduction

S’il y a bien une activité que j’aime mais dont j’ai peu parlé sur mon blog et les réseaux ces derniers temps, c’est l’illustration. Je me suis longtemps définie comme illustratrice (ma première passion) et quand j’ai démarré mon activité de graphiste indépendante, j’ai continué à me définir ainsi. Aujourd’hui je me considère dans un sens plus large « Créatrice de visuels pour le print et le web ».

J’illustre principalement pour des particuliers. Pour la réalisation de leurs faire-parts de naissance ou mariage, des cartons d’invitation ou bien encore cartes anniversaire. Et les techniques utilisées sont assez diverses, je peux en mélanger plusieurs. Aquarelle, crayons couleurs, en passant par la PAO (style Flat design).

L’illustration pour communiquer

Je peux être sollicitée par les entreprises, agences de publicité ou collectivités. En effet, l’illustration (qu’elle soit vectorielle ou bien faite à la main) permet de communiquer rapidement une idée ou un concept.

Le Flat design

Nous observons depuis quelques années, l’émergence d’un nouveau style d’illustration : le flat design. Plus souvent utilisé sur le web ou pour des applications, le flat design est un style graphique minimaliste « à plat », sans texture ni relief, ce qui améliore sa lisibilité.

Les mascottes

L’usage de mascottes par exemple se répand pour donner une plus-value et une réelle identité à une marque. La mascotte jouera le rôle d’ambassadeur du produit tout en ayant un côté « sympa » et ludique. > Vous retrouverez ici un exemple de création d’avatars réalisés en 2018, pour le site Je suis malentendant.

Les icônes

L’icône est un exemple parfait de l’usage du flat design. Aujourd’hui, pour un site web, nous limitons l’utilisation de reliefs et dégradés pour privilégier des icônes « flat ». Lors de l’achat d’un thème WordPress par exemple, de nombreux kits existent et répondent à la majorité des besoins. Ceci dit, l’intervention d’un professionnel (graphiste ou webdesigner) est recommandée car il est en mesure de les personnaliser, en fonction d’une charte graphique existante.

Graphiste, c’est qui / quoi

Graphiste, c’est qui / quoi

Moi, graphiste, j’aurais du commencer par aborder cette question la dernière fois.. L’essentiel !

Graphiste est un métier à part entière. Non, le graphisme n’est pas un hobby. Non, un graphiste n’est pas un artiste bénévole !
Artiste oui, c’est un expert professionnel en image et en mise en forme visuelle. Graphiste est un métier qu’on n’improvise pas, il nécessite 3 à 5 ans d’études post-Bac, selon les écoles (très souvent privées).

Faites une rotation sur vous-même à 360° !

Où que vous soyez, il est fort probable que vous aperceviez le travail d’un graphiste : le packaging d’une bouteille de shampoing, d’un pack de lait, les magazines ou livres que vous lisez, un site web que vous visitez, un spot publicitaire à la télévision, les tracts dans votre boite aux lettres, les affiches en période pré-électorale, un catalogue de vêtements ou de meubles pris dans votre magasin préféré, les enseignes, les boites à chaussures, les menus dans un restaurant, ou bien encore un marquage véhicule aperçu sur la route des vacances, etc.. etc… tout ceci est le fruit du travail d’un graphiste professionnel !

Un graphiste professionnel (j’insiste sur le « professionnel ») maîtrise l’art de la composition, manie l’équilibre des couleurs et des contrastes, arrange l’espace (autour d’un texte ou d’un logo par exemple)…

Les outils de travail indispensables :

Un ordinateur et les logiciels de traitement de l’image et de mise en page, un scanner, une imprimante, et tout le matériel pour dessiner, peindre, éventuellement une tablette graphique (mais je n’énumère pas les outils évidents comme téléphone, connection internet, etc…). Tous ces outils bien sûr évoluent au fil des années et le graphiste doit s’adapter en permanence.

Mais qu’on ne s’y méprenne pas : la véritable plus-value d’un bon graphiste ne se trouve pas dans les outils technologiques qu’il utilise ! Sa vraie valeur, c’est surtout sa créativité, sa culture générale, sa curiosité, son expérience de l’image, son attrait pour l’esthétique, développés dans une formation mi-artistique, mi-technique. Donc à utilisation égale d’outils performants, vous ne confondrez jamais un travail professionnel d’un travail amateur… c’est l’évidence !

En conclusion, confiez votre projet à une graphiste compétente ! Rencontrons-nous pour en discuter…
07 81 81 50 51 ou contact@celtycom.bzh
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